Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover
il y a 8 ans
Le rejet créer parfois l’addiction
J'ai vécu de nombreuses années avec un homme qui aimait (et aime sans doute toujours, nous sommes maintenant séparés), mettre des couches et des culottes en plastique ou en caoutchouc. Déjà avant notre mariage, il y a de cela plus de 20 ans, j'avais bien remarqué son attirance pour mes culottes périodiques doublées de plastique, culottes qu'il lui arrivait même de mettre, pour, comme il disait, être en intimité avec moi dans ces moments là. J'avais à l'époque du mal à comprendre cette attirance qui me semblait bizarre. Vous allez sans doute me trouver très vieux jeu, mais j'étais très réticente à avoir des rapports sexuels avant notre mariage. J'ai réalisé longtemps après que pour lui cela avait sans doute du être difficile, ce d'autant qu'égoïstement j'aimais bien en revanche qu'il me masturbe avec ses mains douces et avec sa langue. Mais je n'aimais pas trop lui toucher le sexe. J'avais peur de la taille prise par cet "engin", j'appréhendais la pénétration et je n'aimais ni le contact du sperme ni son odeur (comme vous voyez, je ne vous épargne pas les détails...)
Une nuit, nous avons couché chez ses parents, et bien entendu nous avions deux chambres séparées. Je précise qu'on était dans les années 70. Ce n'était pas la première fois, et il avait l'habitude, quand tout le monde dormait, de venir me rejoindre dans mon lit. Cette nuit là, il était particulièrement insistant, je lui ai dit que j'étais éventuellement d'accord pour le masturber, mais que cela me gênait car cela allait tacher le lit et que sa mère ne manquerait pas de le remarquer. Il sortit alors de la chambre et revint quelques instants après avec quelque chose dans les mains qu'il glissa dans le lit. Comme il n'avait pas allumé la lumière, je ne vis pas ce que c'était. Quelques minutes après, il me dit : "Tu vas faire ça là-dedans". Je sentis alors qu'il glissait d'une part sous ses fesses une alèse en plastique dont je trouvai le contact froid et qu'il me donnait une espèce de poche avec deux lanières qui semblait être en caoutchouc. Je lui demandai ce que c'était et où il avait trouvé cela. Il me dit que c'était l'ancienne bambinette de sa soeur et que cela irait très bien pour ce que j'avais finalement accepté de faire. Son sexe était impressionnant dans ma main et il paraissait extrêmement excité.
Il commença par me caresser, très bien comme il savait le faire et je montai plusieurs fois au 7ème ciel. J'étais donc dans l'impossibilité de lui refuser ce qu'il voulait. Je lui mis la bambinette sur son sexe et je commençai à caresser puis à prendre son sexe en main et à faire coulisser à travers le caoutchouc. Je trouvais cela un peu surréaliste, mais j'étais un peu excitée aussi de ce pouvoir que je découvrais : donner du plaisir à un homme. Je me demandais toutefois déjà si le plaisir qu'il ressentait n'était pas lié davantage à cette bambinette qu'à moi. Il éjacula dans un râle au bout de quelques va et vient. La bambinette remplit effectivement son rôle, l'alèse dessous aussi, et il n'y eut pas de taches.... Je me suis posée quand même beaucoup de questions sur cette approche un peu particulière de la sexualité.
Tout au début de notre mariage, nous nous sommes trouvé un jour dans un grand magasin, au rayon hygiène, rayon où je pense il ne m'avait pas attirée par hasard... Il y avait dans ce rayon des rangs de culottes périodiques dont des culottes tout en plastique que je n'avais jamais vues auparavant et je me suis dit que la nuit, cela pourrait peut être me servir en cas de règles abondantes. La vendeuse est venue voir ce que je cherchais et quand je lui ai expliqué, elle m'a dit : "mais, Madame, ce sont des culottes pour incontinents !" Je suis devenue rouge de confusion et j'ai quitté précipitamment le rayon. Mon mari a tenté de me raisonner, en me disant que si c'était cette culotte que je voulais, cela n'avait pas d'importance que ce soit une culotte pour incontinents et il retourna lui-même l'acheter.
Je ne mis cependant jamais cette culotte, car j'étais très gênée par les propos de la vendeuse, propos qui m'avaient choquée. Je faisais un blocage là dessus.
Par la suite, un jour, il s'est mis à mouiller notre lit à plusieurs reprises et également son slip dans la journée. Nous avions assez peu de rapports sexuels, pour moi c'était toujours assez douloureux, par ailleurs je refusais de prendre la pilule, je ne voulais pas de stérilet et je n'aimais pas non plus qu'il mette de préservatif, ce qui rend la vie sexuelle d'un couple quand même bien difficile ! Apparemment, il était donc redevenu énurétique (il avait fait pipi au lit dans son e n f a n c e jusqu'à un age avancé), du moins je l'ai cru, mais à présent, je n'en suis plus persuadée. J'ai vaguement pensé que cela pouvait être lié au fait que nous avions des problèmes de couple et que c'était psychosomatique. Il s'est donc équipé en conséquence, car il était bien sur exclu que je change les draps tous les jours ! Comme par hasard, la culotte en plastique qu'il avait achetée pour moi venait de trouver son utilité. A partir de là, il fit de nombreux achats d'articles de protection. Il n'avait pas son pareil pour dénicher des articles dont la provenance m'a longtemps étonnée. Il mettait parfois une bambinette, le modèle pour adulte cette fois, qu'il garnissait d'ouate de cellulose.
Il avait trouvé cet article dans une grande pharmacie dijonnaise, et, me trouvant avec lui ce jour là, je l'ai bien évidemment cru. En revanche, par la suite il ramena de nombreuses culottes en plastique et aussi des culottes en caoutchouc, qu'il me disait trouver également en pharmacie, ce que je finis par trouver étrange car je ne pense pas que, même dans les années 80 on pouvait encore trouver des culottes en caoutchouc véritable en pharmacie.... En tout cas c'était plus efficace que la bambinette. Il achetait également de la ouate de cellulose en rouleaux, puis, par la suite, des couches pour adultes. J'avais mis une alèse dans notre lit, uniquement sous lui, et sous le drap-housse, car je ne tenais pas particulièrement à coucher sur du plastique ou du caoutchouc. Il insista à de nombreuses reprises pour coucher directement sur cette alèse, qu'il mettait donc par dessus le drap housse et souvent il la mettait en travers, pour que je couche également dessus, notamment quand j'avais mes règles, pour "protéger la literie". Quand il avait obtenu que je couche directement sur l'alèse, il devenait très empressé à mon égard et me faisait l'amour avec ardeur. Comme j'avais des règles abondantes, il insistait toujours aussi pour que je mette moi-même une culotte en plastique, ce que je n'appréciais pas, pour les raisons exposées plus haut.
Je n'avais aucune notion à l'époque de l'existence de fantasmes "bébéphiles" et fétichistes, mais je remémorais le premier épisode de la masturbation avec la bambinette. Je n'aimais pas non plus qu'il me fasse l'amour alors qu'il avait mouillé ses couches, en gardant son gros paquet de couches mouillées en en abaissant simplement le devant de sa culotte en plastique ou en latex. J'étais assez "innocente" dans le domaine sexuel et je m'étais cependant petit à petit fait à son "infirmité". Il mettait pratiquement des couches et une culotte en plastique 24h/24. Quand nous étions invité chez des amis ou des parents, j'insistais pour qu'il ne garde pas sur lui des tenues trop voyantes ou bruyantes, les culottes en plastique se faisant assez nettement remarquer par le bruit de froissement du plastique, et encore plus du caoutchouc, mais il semblait n'en avoir cure. Je commençai à insister pour qu'il aille voir un médecin, car je souhaitais qu'il "guérisse". De plus, j'avais de temps en temps des problèmes urinaires moi aussi, ayant quelques fuites quand je toussais ou courais, et même aussi quand j'avais un orgasme.... Il me proposait souvent de mettre une petite couche et bien entendu une culotte en plastique pour que "je sois plus tranquille", mais j'avais très peur que le fait de porter des couches me fasse en fait devenir comme lui. Je ne voulais surtout pas moi aussi me mettre à faire pipi au lit.
Depuis le début de mon mariage, nous avions eu deux e n f a n t s. En fait je me retrouvais presque avec trois puisque mon mari faisant pipi au lit, j'étais en fait la seule adulte de la maison ! Au fait, j'appellerai mon mari "X", mais ce n'est bien sur pas son prénom . Pourquoi ? Tout simplement parce que je pense qu'il fait partie de votre groupe et c'est d'ailleurs une des raisons qui fait que j'écris ici (note : quand je dis "ici" c'était à l'époque sur le forum général en mars) cette histoire, dont il a connu une partie, vue de son côté à lui, mais certainement pas tout.... Je reviens à ce que je disais. Un samedi matin, c'était en 1982, (je m'en souviens comme si c'était hier) mon fils de 3 ans était en train de jouer dans la cuisine. Je ne sais plus exactement ce qu'il faisait mais je crois qu'une petite pièce d'un de ses jouets est allée rouler sous le meuble situé sous l'évier. Ce meuble avait une plinthe sur le devant qui joignait mal, ce qui fait que de petits objets pouvaient aller dessous. A l'intérieur il y avait donc un placard avec le rayon du bas qui ne reposait pas directement sur le sol et au fond, contre le mur, un espace vide pour la tuyauterie de l'évier. J'ai tenté de récupérer cette petite pièce avec une règle plate. J'ai bien récupéré la pièce mais j'ai senti également une résistance et j'ai alors fait dépasser ce qui semblait être une revue. Intriguée, j'ai sorti complètement la revue qui devait s'appeler "Rubber life" ou quelque chose comme cela. Je l'ai mise de côté pour que mon fils ne voie pas.
Quand j'ai été seule, je l'ai feuilletée et j'ai eu la surprise de découvrir que c'était en fait une revue pas franchement porno mais je dirais maintenant "fétichiste", à l'époque je n'aurais pas pu trouver le terme adéquat. Il y avait là des tenues en latex, je ne vis pas tout de suite que dans certaines pages les mises en scène étaient plus nettement "infantiles" avec des scènes de lange entre adultes. Je me demandais d'où pouvait provenir cette revue et j'ai pensé que c'étaient peut être les ouvriers qui l'avaient laissée là lors des travaux de la maison.... Quand "X" est rentré du travail, je me suis avancé vers lui, la revue à la main, pour lui dire ce que j'avais trouvé. Je l'ai vu alors se décomposer devant moi et il m'a avoué, alors que je ne m'y attendais pas du tout, que la revue était à lui ! Je pense que s'il avait su ce que j'avais supposé, il ne m'aurait peut-être jamais rien dit. Je tombais des nues ! (A la réflexion, ce n'était pas bien méchant, mais je découvrais que mon mari lisait des revues de sexe et cela m'a énormément perturbé). Toutes mes certitudes s'écroulaient. J'ai peu confiance en moi et à ce moment là j'avais l'impression d'avoir perdu tous mes repères. Je lui ai demandé à tout hasard s'il y en avait d'autres, cachées là dessous, dans l'espace situé donc entre le sol et le rayon du placard, espace auquel on pouvait avoir accès en passant la main à l'arrière du meuble là où il y avait les tuyaux ; et il m'a avoué que oui. J'étais de plus en plus perturbée. Les autres revues étaient nettement plus évocatrices, dès les premières pages : il y avait un catalogue anglais ou américain avec des culottes en plastique ou caoutchouc pour adultes et d'autres magasines, uniquement orientés cette fois sur des fantasmes que j'appris après être ceux des "bébés adultes", avec des couches, des barboteuses en caoutchouc, des culottes en plastique, etc.......
Sur le coup, complètement démontée, je mis mon manteau, pris mon sac et suis allée passer l'après midi en ville, me vengeant sur des achats plus ou moins utiles, tout en étant obsédée par ma découverte. En rentrant le soir, je trouvai "X" avec un air penaud et catastrophé. Pendant les jours qui suivirent, nous eûmes de longues conversations. Il me confirma qu'il était bien incontinent (je doute toujours), mais qu'effectivement, depuis son e n f a n c e , il était attiré par tout ce qui avait trait aux articles de protection, culottes, alèses, en caoutchouc et plastique. Je commençais enfin à comprendre (quoique comprendre n'est sans doute pas le bon terme, je dirais plutôt intégrer, voir plus clair, car en fait je ne comprenais rien du tout.... ce genre de pulsions à connotation sexuelle m'étant totalement étrangères et me paraissant invraisemblable à l'époque, je découvrais que j'étais mariée à un fou !), donc à voir plus clair dans tous ces évènements des années passées qui m'avaient beaucoup intriguée. "X" m'expliqua que toute sexualité était chez lui liée au caoutchouc et au plastique. J'en déduisis que je n'avais donc aucun intérêt pour lui. Surtout, maintenant que je "savais" il fallait aussi que je "tolère", mais cela alla plus loin. Comme l'amour rend aveugle, j'acceptai de rentrer dans son jeu, mais ses fantasmes semblaient évoluer : il fallait que moi aussi je mette une culotte en plastique ou en caoutchouc pour qu'il soit sexuellement excité. C'est là que, pendant des années, nous avons buté sur une question fondamentale pour moi : m'aimait il moi ou la culotte en caoutchouc que j'avais, après maintes sollicitations accepté de mettre ? il se mit à faire ouvertement des commandes de ce type de vêtements, non seulement pour lui, mais aussi pour moi, à ma taille, en me demandant mon avis sur les modèles. Je dois toutefois reconnaître que le contact, du latex notamment, ne m'était pas désagréable. En plus ce n'était pas lié de la même façon à l'incontinence, comme la culotte plastique que j'avais refusée d'acheter quelques années auparavant.
Et puis, quand j'acceptais de mettre une culotte en caoutchouc, il était débordant de prévenances et très attentionné. J'avais cependant perdu toute confiance en lui, parce qu'il m'avait caché ses pulsions, et que, en fin de compte, il m'avait trompé. Aurais-je accepté de l'épouser si j'avais su ? Argument qu'il utilisait justement pour me dire qu'il n'aurait jamais pu me l'avouer, justement par crainte que notre relation soit définitivement compromise.
Dans les semaines qui suivirent, nous connûmes en tout cas un surcroît d'activité sexuelle. En fait, je découvrais la sexualité et la sensualité. Quand, après maints refus de ma part, il finissait par obtenir que je mette une culotte en caoutchouc, il mettait à l'intérieur un gel lubrifiant sur mes parties intimes. Cela exacerbait mes sensations, surtout si le caoutchouc était fin, j'étais comme électrique, la moindre caresse sur mon sexe était amplifiée comme jamais je ne l'avais ressenti et j'avoue que j'ai ressenti des orgasmes comme jamais je n'en avais ressenti auparavant. Pour "couronner" le tout, il m'arrivait, surtout si je n'avais pas été faire pipi avant, de faire pipi quand je jouissais, arrosant copieusement la literie que très vite il comprit qu'il fallait protéger et nous faisions donc l'amour sur une alèse. Je dois dire que j'ai toujours joui beaucoup mieux avec des caresses manuelles ou buccales que par la pénétration, qui immanquablement était plus douloureuse et me bloquait. J'étais donc très souvent satisfaite et lui moins, puisque nos petites séances ne se terminaient pas toujours par un rapport complet. J'étais donc tiraillée entre des sentiments très contradictoires, car, tout de suite après que nous ayons fait l'amour de cette façon, j'en avais honte et je me jurais de ne jamais recommencer. Ce qui n'empêche que je me suis retrouvée enceinte à peine quelques mois après la naissance de ma fille.
Dans les années qui suivirent, notre relation connut donc des hauts et des bas, selon ses humeurs et ma plus ou moins bonne volonté à me plier à ses volontés. Surtout, je lui disais que j'avais épousé un homme, et que j'avais besoin chez un homme de sa virilité. Je ne voulais pas d'un "bébé" supplémentaire, mais de quelqu'un qui représente pour moi une f o r c e , une protection, alors qu'à jouer ainsi les bébés surtout lui, je ne me sentais pas à l'aise. Être son bébé m'aurait posé moins de problèmes, mais il fallait que lui aussi mette ces culottes et des couches, cela faisait beaucoup à accepter de ma part. Or, à la suite de mon troisième accouchement, mes problèmes urinaires s'étaient accentués et tout naturellement, il lui est venu à l'idée que je mette aussi des couches. Curieusement, dans l'intervalle, son incontinence avait peu à peu "guéri", et il ne faisait plus pipi au lit sauf une fois de temps en temps, quand il était disait-il, fatigué. Cela justifiait en tout cas le fait qu'il continue à mettre des couches. Et puis un jour, en 1986, il dut s'absenter 10 jours pour faire seul un voyage aux Etats-Unis pour raisons professionnelles.
C'était la première fois que j'allais me retrouver seule (pas tout à fait puisque j'étais avec les e n f a n t s, mais disons seule dans mon couple) pendant une période assez longue. D'habitude il s'absentait un jour ou deux, rarement plus. Ce qui est curieux c'est que dès le premier soir, il m'a tout de suite manqué, j'ai ressenti son absence alors que je ne m'y attendais pas, ce d'autant que nos relations n'étaient pas au mieux, cela devait faire plusieurs semaines qu'il ne m'avait pas touchée, et moi non plus d'ailleurs. En me couchant dans ce grand lit vide, j'ai été mettre ma tête sur son oreiller, pour sentir son odeur et faire ainsi comme s'il était encore à mes côtés. En passant mes mains sous l'oreiller, j'ai constaté qu'il y avait laissé une culotte en caoutchouc, ainsi que son tee-shirt. Je n'arrivais pas à trouver le sommeil ; je finis par prendre la culotte en caoutchouc que je plaçai entre mes cuisses, sans l'enfiler et je mis son tee-shirt sur ma poitrine, sous mon pyjama en éponge (nous étions en novembre, j'ai pour habitude de dormir dans une chambre non chauffée, j'ai toujours aimé les pyjamas en éponge, c'est vrai que c'est plus bébé qu'adulte....). Je m'endormis ainsi.
Le lendemain, au réveil, je remis les affaires sous l'oreiller. Il m'avait appelée au téléphone pour me dire qu'il était bien arrivé, notre conversation avait été banale et pas très chaleureuse, j'attendais qu'il me dise que je lui manquais, ce n'est pas venu, je n'ai rien dit non plus. Au cours de la journée, j'ai à plusieurs reprises pensé à cette culotte en caoutchouc sous son oreiller et à celles qu'il m'avait achetées qui se trouvaient dans un tiroir de ma commode, cachées sous ma lingerie habituelle. Dans l'après midi, je suis allée ouvrir le tiroir et j'ai déplié quelques culottes, senti le latex (certaines étaient neuves, je ne les avais jamais mises) ; je me sentais "drôle", pas dans mon élément, ailleurs. Je rangeai tout et refermai le tiroir, me mis à faire autre chose et à essayer de ne plus penser. Puis les e n f a n t s sont rentrés de l'école et la soirée à passé, jusqu'au moment de se mettre au lit. Comme la veille, je me suis couchée sur son oreiller et je ne trouvais pas le sommeil. Au bout d'un moment, j'ai rallumé la lumière et j'ai fixé le tiroir de la commode. J'ai fini par me relever et suis allée ouvrir le tiroir. Mon coeur battait la chamade. Pour la première fois de ma vie, j'avais une pulsion incontrôlable d'aller chercher une culotte en caoutchouc. J'essayais d'analyser, de me raisonner, rien n'y faisait. J'ai finalement pris une culotte rose en caoutchouc fin, à pressions, un modèle très bébé, qu'il voulait que je mette depuis longtemps. J'ai enfilé cette culotte, remis mon pantalon de pyjama par-dessus. J'étais "bien", un peu honteuse, mais bien. Je m'endormis comme dans un rêve.
Le matin du troisième jour, je suis allée dans la cuisine préparer le petit déjeuner, en gardant ma culotte en caoutchouc sous mon pyjama. Cela faisait un peu de bruit quand je me déplaçais et je me disais que les e n f a n t s allaient remarquer, c'est ce que je reprochais à "X" quand il gardait sa couche et sa culotte imperméable en présence des e n f a n t s. Ils n'ont rien remarqué du tout et j'ai donc gardé la culotte jusqu'à ce que j'aille faire ma toilette, en milieu de matinée. Comme la culotte était devenue collante et que j'étais mouillée à cause de la transpiration, je n'avais plus trop envie de la porter, mais jusque là j'avais beaucoup aimé cela.
Je la lavai, comme je l'avais vu faire lui-même des centaines de fois, la séchai grossièrement avec une serviette éponge et la mis à sécher plus complètement sur un cintre dans ma penderie. L'après-midi, c'était plus fort que moi, j'ai vérifié qu'elle séchait bien, en la retournant sur le cintre, ce que "X" faisait souvent et je trouvais cela ridicule ! Le soir, je la sortis de la penderie et m'aperçut qu'il fallait la talquer. J'étendis la culotte sur l'alèze en caoutchouc que je sortis de son tiroir à lui et que je disposai sur mon drap. Le talc sentait bon, le caoutchouc redevint lisse et soyeux, celui de la culotte comme celui de l'alèze, du coup, je laissai l'alèse sur mon drap. Au moment d'aller me coucher, j'avais une forte envie de faire pipi, mais je me retins d'aller aux toilettes... J'étais à nouveau toute bizarre, avec les oreilles qui bourdonnaient et le coeur qui tapait à toute vitesse. J'ai pris dans son placard une grande couche large doublée de plastique et une autre beaucoup plus épaisse, mais non doublée, comme j'avais vu faire mon mari là encore à de multiples reprises, sous mon regard réprobateur et mes soupirs.
Et là, c'était moi qui le faisais ! Je ne me reconnaissais plus. J'avais fait un peu pipi dans mon slip, du fait de mon envie difficile à réprimer, aussi c'est encore plus fébrilement, les mains froides et moites que j'étendis la culotte sur l'alèze, disposai les deux couches par-dessus. Je posai mes fesses sur ce doux matelas, rabattis l'avant de la culotte sur mon ventre et boutonnai les pressions. Là encore, je me sentis plus que bien, en sécurité, je me laissai enfin aller et je fis tout mon pipi dans les couches. Celles-ci avaient bien rempli leur office, je n'avais pas de fuite. Je ressentis un véritable soulagement, ainsi voilà donc ce qu'on ressentait en mouillant une couche, ce poids chaud entre les cuisses qui appuie sur le sexe. Je réalisai alors que j'étais couchée directement sur le caoutchouc de l'alèze. D'habitude, je n'aimais pas cela du tout, je trouvais toujours que c'était froid, que cela collait... Ce soir là l'alèze était chaude, comme elle était talquée, elle était douce et lisse, je sentais la chaleur m'envahir, mon sexe s'est mis à gonfler, je le sentais réagir aux moindres mouvements de la couche trempée. J'étais toute mouillée de pipi mais je sentais aussi que j'étais humide de désir. Je pensais très fort à "X" ; s'il m'avait vu ! Je devenais une véritable "salope", me répétant ce terme dans ma tête, ce qui m'excitait encore plus.
J'appuyai avec une main sur ma vulve à travers ma culotte et ma couche, je commençai à me masser à travers ce gros paquet mouillé. J'avais bien l'impression d'être un grand bébé et aussi une vilaine pisseuse, cela renf o r ç a i t mon excitation. N'y tenant plus, j'ouvris le tiroir de la table de nuit, du côté de "X" et m'emparai du tube de lubrifiant. J'en vidai une bonne partie sous la couche.... Non seulement j'étais trempée de pipi mais toute "glissante", mes doigts se mirent à courir sur mon sexe en tous sens, allaient et venaient dans mon vagin, sur ma vulve, remontaient jusqu'au clitoris. J'avais l'impression d'être redevenue une ado, période au cours de laquelle je me masturbais souvent en culpabilisant énormément d'ailleurs. Je sentais inexorablement venir la jouissance, et elle allait durer ce qui me parut une éternité. J'étais tendue comme un arc, j'ai fini par retomber sur l'alèze, écrasant mon paquet de couches, un peu de pipi se répandant dans la culotte. Tout de suite après, je m'endormis béatement.
Au matin du quatrième jour, je réalisai dans quel état j'étais à la sonnerie du réveil. Je me levai, m'emparai d'une couche propre, d'une culotte en plastique propre et d'un pyjama propre. Au cours de la nuit, il y avait eu des fuites, je me demandai d'ailleurs si je n'avais pas refait pipi. Je mis le tout dans une cuvette. Cela sentait vraiment le pipi ! N'ayant pas le temps de me laver avant que les e n f a n t s ne se réveillent, j'ai donc remis la couche propre, la culotte et le pyjama propre et tout s'est passé normalement jusqu'au départ des e n f a n t s pour l'école. La couche faisait une légère bosse mais cela m'était égal, après tout cela pouvait passer pour une grosse serviette périodique. Ma libido était toujours en effervescence. Une fois les e n f a n t s partis, j'ai enlevé la couche et gardé juste la culotte sur moi. Il fallait que je prenne un bain. Je me suis fait couler un bon bain avec de la mousse et suis entrée dedans en gardant ma culotte en plastique. J'ai pris mon temps!
Je me suis à nouveau caressée, à travers la culotte en plastique et dans l'eau cette fois, puis j'ai joué avec la douchette en la dirigeant sur mon clitoris, tout cela n'a pas manqué de me faire jouir à plusieurs reprises mais moins intensément que la veille. J'ai fait ma lessive et peu à peu je suis redevenue "normale".
La veille du retour de "X", j'ai recommencé comme cette fameuse nuit, avec les mêmes sensations, et le sentiment que mes "vacances" touchaient à leur fin. Le lendemain, "X" est rentré, le quotidien reprit le dessus. J'avais honte de ce que j'avais fait, comme si j'avais trompé "X" mais aussi un peu comme si je m'étais vengée.
La vie a repris son cours comme avant. J'ai enterré longtemps cet épisode de ma vie dans un coin de ma mémoire et j'y repensais parfois. Je suis restée "sage", me faisant toujours tirer l'oreille pour satisfaire "X" et lui faire plaisir. Je n'ai avoué à "X" que des années après, et encore sans lui donner le détail exact de ce qui reste pour moi une folie, alors que nous étions déjà séparés. Il n'a pas compris que j'aie pu faire seule ce que je lui avais toujours refusé....
J'ai toujours quelques culottes.... Parfois, je cède à la tentation et dans ces moments là je lui en veux toujours "après" pour m'avoir ainsi pervertie (je vous l'ai dit, je suis sans doute trop conformiste et inhibée dans ma tête). J'ai toujours du mal à considérer ces pulsions comme banales, pour ne pas dire normales. J'arrive donc à la fin de mon histoire, le reste n'a plus d'intérêt à être raconté.
Cordialement à vous
Marie-Paule
Très jolie histoire d'1 femme qui a su lâcher prise pendant 10 jours. Et 10 jours peuvent changer une vie même si elle a du mal à l'assumer. Ces moments de liberté vis à vis de la "bienséance sociale lui auront fait comprendre bcp sur la vie. Merci |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)